Joan Mompart réinvente la fable du Magicien d’Oz sur un texte de Robert Sandoz pour ancrer ce conte classique dans l’époque contemporaine, en questionnant le consumérisme à outrance et le manque des êtres chers.
Un jour, alors que Dorothy se promène avec son père dans un centre commercial, elle découvre une magnifique paire de chaussures argentées. Mais son père ne veut pas, ne peut pas les lui acheter. Alors elle pique une crise. Une colère grosse comme une tempête, qui emporte tout sur son passage et la propulse dans le pays d’Oz, une chambre colorée, tapissée d’ours en peluche d’où surgiront ses compagnons de voyage.
Avec eux, Dorothy va retrouver le chemin de la raison pavé de briques jaunes, où être est plus important qu’avoir.
Oz nous invite à retrouver la valeur des choses, celles qui ne s’achètent pas. Car vivre, c’est faire l’inévitable épreuve du manque. La pièce propose de s’éloigner des satisfactions dérisoires que fabrique la société de consommation pour revenir à l’essentiel : être.
Avec eux, Dorothy va retrouver le chemin de la raison pavé de briques jaunes, où être est plus important qu’avoir.
Oz nous invite à retrouver la valeur des choses, celles qui ne s’achètent pas. Car vivre, c’est faire l’inévitable épreuve du manque. La pièce propose de s’éloigner des satisfactions dérisoires que fabrique la société de consommation pour revenir à l’essentiel : être.





