Abdelwaheb Sefsaf compose un spectacle musical et monumental qui s’articule autour de trois peuples, trois révoltes, trois continents pour raconter la colonisation de la Nouvelle-Calédonie ; Kaldûn en arabe.
Abdelwaheb Sefsaf nous invite à découvrir un pan méconnu de notre histoire. En 1871, après l’échec de leur soulèvement, les grandes figures de la Commune sont déportées en Nouvelle-Calédonie. Au même moment, en Algérie française, l’insurrection des Kabyles contre la colonisation échoue. Communards et Kabyles sont condamnés au bagne. Pour survivre à une traversée qui dure six mois, les prisonniers politiques s’unissent en chantant, dans un mélange des cultures. Arrivés sur l’île, ils rencontrent les révoltés kanaks, toujours repoussés dans les terres les plus arides et dont le mouvement de libération est écrasé en 1878 par l’armée française.
Une fresque historique qui s’appuie sur un travail musical inspiré par les rythmes berbères, les musiques traditionnelles kanakes et les chants révolutionnaires du XIXème siècle.
Revisitant une page méconnue et cruelle de notre histoire, Kaldûn résonne comme une bouleversante ode à la réconciliation.
Une fresque historique qui s’appuie sur un travail musical inspiré par les rythmes berbères, les musiques traditionnelles kanakes et les chants révolutionnaires du XIXème siècle.
Revisitant une page méconnue et cruelle de notre histoire, Kaldûn résonne comme une bouleversante ode à la réconciliation.
