Vaudeville soviétique présenté par le Théâtre National Populaire de Villeurbanne
Un quiproquo mortel qui se transforme en comédie loufoque sur l’ambition et l’absurdité de la gloire.
Un quiproquo mortel qui se transforme en comédie loufoque sur l’ambition et l’absurdité de la gloire.
Un vaudeville féroce sur les déboires d’un homme ordinaire dans l’URSS des années vingt. Un quiproquo mortel qui se transforme en comédie loufoque sur l’ambition et l’absurdité de la gloire.
Sémione Sémionovitch est officiellement un looser, chômeur à temps plein. L’annonce de son prochain suicide provoque un séisme parmi ses voisins, et dans l’immeuble communautaire où il vit, les langues se délient.
La révolution ne tient pas ses promesses, gangrénée par la corruption et une bureaucratie qui roule pour une poignée de dirigeants qui n’ont, de bolchéviques, que l’étiquette. Nicolaï Erdman perçoit ces instants de tension dans son pays, les rêves brisés d’une révolution dévorée par les ambitions d’un tyran. A l’instar de ses amis Meyerhold et Maïakovski, tous trois ressentent les signes annonciateurs de la bascule totalitaire. Nicolaï Erdman écrit Le Suicidé parce qu’il croit encore l’idéal révolutionnaire possible.
Pour Jean Bellorini, cette pièce “prend la forme d’une course effrénée, d’un ballet convulsif de personnages hauts en couleur, d’une farce grinçante truffée de répliques hilarantes”.
Sémione Sémionovitch est officiellement un looser, chômeur à temps plein. L’annonce de son prochain suicide provoque un séisme parmi ses voisins, et dans l’immeuble communautaire où il vit, les langues se délient.
La révolution ne tient pas ses promesses, gangrénée par la corruption et une bureaucratie qui roule pour une poignée de dirigeants qui n’ont, de bolchéviques, que l’étiquette. Nicolaï Erdman perçoit ces instants de tension dans son pays, les rêves brisés d’une révolution dévorée par les ambitions d’un tyran. A l’instar de ses amis Meyerhold et Maïakovski, tous trois ressentent les signes annonciateurs de la bascule totalitaire. Nicolaï Erdman écrit Le Suicidé parce qu’il croit encore l’idéal révolutionnaire possible.
Pour Jean Bellorini, cette pièce “prend la forme d’une course effrénée, d’un ballet convulsif de personnages hauts en couleur, d’une farce grinçante truffée de répliques hilarantes”.






