Les Musical'été
Révélé lors de la dernière édition de Jazz à Vienne, Shibuuya! rafraichit le jazz français en puisant son inspiration dans l’imaginaire musical des jeux vidéo.
Révélé lors de la dernière édition de Jazz à Vienne, Shibuuya! rafraichit le jazz français en puisant son inspiration dans l’imaginaire musical des jeux vidéo.
Baptisé en hommage à l’un des 23 arrondissements de Tokyo, le quartier très branché de Shibuya, ce tout jeune trio lyonnais invente un jazz next-gen planant comme une virée en limousine volante dans la nuit futuriste d’un jeu vidéo.
Les beats dégingandés du hip-hop actuel, pilotés par le formidable batteur réunionnais Japhet Boristhène, saccadent les grooves suaves et délicieusement rétro du bassiste Lucas Benedetti tandis que le claviériste Pierre-Louis Varnier flotte dans des rêveries cybernétiques, quelque part entre une vieille Nintendo et une pile de vinyles d’Herbie Hancock.
Ultra sexy, ondulant et scintillant comme une galaxie, un peu tripé et cosmique, leur broken beat malicieux dégage un sentiment de nostalgie pour une enfance peuplée de consoles de jeu, tout en revendiquant une modernité pointue, royale, et joliment relax.
Les beats dégingandés du hip-hop actuel, pilotés par le formidable batteur réunionnais Japhet Boristhène, saccadent les grooves suaves et délicieusement rétro du bassiste Lucas Benedetti tandis que le claviériste Pierre-Louis Varnier flotte dans des rêveries cybernétiques, quelque part entre une vieille Nintendo et une pile de vinyles d’Herbie Hancock.
Ultra sexy, ondulant et scintillant comme une galaxie, un peu tripé et cosmique, leur broken beat malicieux dégage un sentiment de nostalgie pour une enfance peuplée de consoles de jeu, tout en revendiquant une modernité pointue, royale, et joliment relax.