dans le cadre du festival Friction(s).
Entre équilibre et course contre la montre, Les filles du renard pâle imaginent un spectacle à 360 degrés.
« La roue qui tourne ne rouille pas ». C’est à partir de ce proverbe grec antique que la création autour de la roue giratoire est née. Une fois que cette roue est mise en marche, elle tourne, tourne, sans jamais s’arrêter. L’engrenage est lancé. Le mouvement devient une nécessité, l’immobilité un danger, car tout peut basculer. La peur du vide, la peur du rien s’installe, et laisse place à un mouvement perpétuel qui nous entraîne au cœur d’une danse de l’instabilité.
« La roue qui tourne ne rouille pas ». C’est à partir de ce proverbe grec antique que la création autour de la roue giratoire est née. Une fois que cette roue est mise en marche, elle tourne, tourne, sans jamais s’arrêter. L’engrenage est lancé. Le mouvement devient une nécessité, l’immobilité un danger, car tout peut basculer. La peur du vide, la peur du rien s’installe, et laisse place à un mouvement perpétuel qui nous entraîne au cœur d’une danse de l’instabilité.