Dans le cadre du festival Friction(s).
Florence Caillon développe un langage hybride qu’elle nomme « cirque chorégraphié ». Elle s’attache à chorégraphier le vocabulaire circassien en développant des états de corps et différents principes issus de l’écriture chorégraphique.
Clinch
Utilisé dans l’univers de la boxe, le « clinch » désigne le fait de saisir son adversaire ou de se rapprocher pour se coller à lui afin de l’empêcher de combattre. Il est souvent utilisé en boxe anglaise lorsque les fighters commencent à fatiguer, ou pour exaspérer l’adversaire et casser le rythme imposé.
Au corps à corps, un homme et une femme se jaugent et s’affrontent sur une piste ronde, « ring » et théâtre de leurs négociations.
Chez soi
Deux canapés dos à dos servent d’agrès et de décor au récit acro-chorégraphique d’une rencontre entre un homme et une femme. À l’abri du tumulte du monde, chez soi, chacun des deux acrobates incarnent une solitude protégée et inventive. Puis survient la rencontre, l’incursion poétique d’un corps dans l’univers de l’autre. Et tout à coup, le mouvement s’accélère…
Inspiré de l’essai de Mona Chollet, Chez soi explore l’intersection entre l’espace individuel et collectif, ses ramifications politiques : comment partageons-nous ces espaces qui sculptent notre relation au monde et aux autres ? A quel moment cette connexion devient-elle un carcan, un jeu sournois, ou une aventure, tendre et équilibrée ?
Clinch
Utilisé dans l’univers de la boxe, le « clinch » désigne le fait de saisir son adversaire ou de se rapprocher pour se coller à lui afin de l’empêcher de combattre. Il est souvent utilisé en boxe anglaise lorsque les fighters commencent à fatiguer, ou pour exaspérer l’adversaire et casser le rythme imposé.
Au corps à corps, un homme et une femme se jaugent et s’affrontent sur une piste ronde, « ring » et théâtre de leurs négociations.
Chez soi
Deux canapés dos à dos servent d’agrès et de décor au récit acro-chorégraphique d’une rencontre entre un homme et une femme. À l’abri du tumulte du monde, chez soi, chacun des deux acrobates incarnent une solitude protégée et inventive. Puis survient la rencontre, l’incursion poétique d’un corps dans l’univers de l’autre. Et tout à coup, le mouvement s’accélère…
Inspiré de l’essai de Mona Chollet, Chez soi explore l’intersection entre l’espace individuel et collectif, ses ramifications politiques : comment partageons-nous ces espaces qui sculptent notre relation au monde et aux autres ? A quel moment cette connexion devient-elle un carcan, un jeu sournois, ou une aventure, tendre et équilibrée ?
